Solstice d’été, le plein rayonnement
Un passage de lumière, un cœur grand ouvert sur la vie…
Il est des jours où le Soleil ne se couche presque plus, ici dans ma forêt suédoise, c’est le cas en ce moment. Des instants suspendus où la lumière semble vouloir tout étreindre; le ciel, la terre, nos cellules, nos silences.
Le solstice d’été, ce point culminant du cycle solaire, vient nous rappeler que la lumière ne se cache pas toujours. Qu’il existe des moments de plein rayonnement, où l’on ne tourne plus le dos à notre propre éclat.
Ce 21 juin, le Soleil atteint son apogée, il reste plus longtemps dans le ciel que tout autre jour de l’année ! Mais au-delà de l’évidence scientifique, le solstice est un passage intérieur, une invitation à nous tenir debout, sans craintes, dans ce que nous sommes devenus et en devenir.
Une saison de récolte
Le solstice est un seuil. Il marque le début de l’été, des moissons visibles… mais aussi des fruits cachés. Ce que tu as semé au printemps, dans ton cœur, ton corps, tes projets — commence à mûrir.
C’est peut-être le moment de te poser une question simple: Qu’est-ce qui cherche à s’épanouir en moi? Et aussi: Qu’est-ce que je n’ose pas encore laisser éclore?
Traditionnellement, le solstice d’été est célébré par le feu. Pas celui qui détruit, mais celui qui révèle, éclaire, purifie, relie. Un feu autour duquel on danse, chante, se relie à la terre et au ciel.
Dans nos vies modernes, ce feu peut prendre une autre forme: une méditation au lever du soleil, un soin énergétique pour harmoniser notre feu intérieur, une marche pieds nus à la tombée du jour, ou un moment de gratitude simple, bras ouverts vers le ciel.
Et si tu es en quête de soutien, d’alignement, d’espace pour recentrer ton rayonnement, je suis là. Ce passage solaire est un moment propice pour un soin ou un accompagnement HARMONIA. Il ne s’agit pas de faire plus, mais de revenir à l’essentiel de ce qui brûle en nous sans nous consumer.
Offrande au Soleil… et à soi-m’aime
En cette journée longue, lumineuse, sacrée, je t’invite à une offrande simple: un mot doux à toi-même, une main sur le cœur, une prière, un chant, une recharge au soleil (si tu n’as pas trop chaud), un silence, ou simplement oser rayonner sans te justifier ou t’excuser d’exister.
Le solstice est un portail. Mais ce n’est pas un seuil à franchir par l’effort. C’est un glissement, un accordage, une reconnaissance. De ta lumière. De ta puissance douce. De ce feu que tu portes, même dans tes ombres.
Belle traversée de solstice à toi, au cœur ouvert.
Avec toute mon affection,